lundi 27 juillet 2009

Là où la vie reprend ses droits


Le sol,



le plafond,



et tout ce qui s'y trouve...





Batiment inconnu
Pièce à l'entre sol
Bruxelles, Etterbeek, 155 rue Bélliard
Prises de vues: 26 juillet 2009

Au fait, en double-cliquant sur les photos, vous les verrez en grand.


mercredi 1 juillet 2009

L'Atomium










Est-il vraiment besoin de le présenter ?
C'est étrange comme certains monuments peuvent être proches de chez vous sans que vous n'y prêtiez d'importance. Pour ma part, il a suffit qu'une amie -on pourrait même dire une petite sœur- vienne dans mon Plat Pays pour que finalement j'y attache un certain intérêt. Touriste dans ma propre ville, je me suis prêtée au jeu et j'ai "clic-claqué" dans tous les sens. J'ai fini par y voir, au-delà du sempiternel "bazar à neuf boules" des angles, des reflets, des lignes directrices mais aussi un fouillis -parfaitement étudié- de tubes, de boules, de jointures... Un truc surréaliste en somme...
C'est la Belgique en même temps...
L'Homme, jamais loin quand l'appareil photo est de sortie, a même joué la prolongation architecturale... Pour voir à travers son objectif, c'est par ici.


'L'Atomium'
Conçu par l’ingénieur André Waterkeyn (23 août 1917-4 octobre 2005)
Erigé par les architectes André (19 janvier 1914-2 avril 1988) et Jean Polack (13 juin 1920)
Bruxelles, Parc du Heysel
Acier recouvert d'aluminium, puis après rénovation, acier recouvert d'acier inoxydable
1958, rénové de mars 2004 à février 2006
Prises de vues: 2 mai 2009

L’Atomium est un monument de Bruxelles, Belgique, représentant la maille élémentaire du cristal de fer (phase cubique centré) agrandie 165 milliards de fois. C’était aussi une référence aux neuf provinces belges de l’époque (qui sont aujourd’hui dix avec la scission du Brabant).
L’Atomium, conçu pour durer six mois, n’était pas destiné à survivre à l’Exposition internationale de 1958. Mais sa popularité et son succès en ont fait un élément majeur du paysage bruxellois. Sa destruction fut donc reportée d’année en année jusqu’à être abandonnée. Durant tout ce temps, peu de travaux d’entretien furent réalisés.
(Source)
Dès 1889, le roi Léopold II, qui souhaitait embellir les abords du palais royal en urbanisant ce plateau, mena une vaste opération d’achats de terrains au point qu’en vingt ans, il acquit ici un vaste domaine de 200 hectares qui fut légué à l’État belge à sa mort, en 1909.
Si l’Atomium reste l’attraction principale de ce que l’on nomme désormais le plateau du Heysel, il faut admettre qu’un nombre important d’autres activités s’y sont développées depuis 1935: palais d’expositions, centre de congrès, centre de loisirs et de tourisme, complexe de salles de cinéma, planétarium, stade, terrains de sport, espaces verts, restaurants s’y côtoient pour le plus grand plaisir des visiteurs.
C’est l’Exposition universelle, inaugurée le 27 avril 1935, qui donna le coup d’envoi à ce développement. Vingt millions de personnes visitèrent les 150 hectares de jardins, bassins, bâtiments et pavillons animés par plus de vingt pays différents. La nuit, le site était embrasé par une véritable féerie lumineuse que complétaient d’innombrables feux d’artifice.
Une vingtaine d’années plus tard, l’Exposition internationale de 1958 confirma la qualité d’accueil du site, permettant à plus de quarante millions de visiteurs d’apprécier les progrès techniques et scientifiques du monde moderne dans une ambiance optimiste et joyeuse. Le plan général de l’exposition s’organisait autour de l’Atomium.

(Source)

Au fait, en double-cliquant sur les photos, vous les verrez en grand.